Aujourd’hui on file en métro vers les souks… Tiens ! Tiens ! Le standing aurait-il baissé ? On a acheté le "1 day ticket", un pass pour la journée qui nous permet d'aller partout et de s'arrêter partout (Euh ! oui ! dans les stations quand même !!!). Donc nos trajets se sont réalisés essentiellement en métro, mais en classe "normale", la silver classe.
Le quartier de Deira nous propose les souks de l’or, des épices, des parfums, du poisson… Y’a de quoi nous tourner la tête !
Le Creek de Dubaï est un bras
de mer, semblable à un estuaire de rivière. Presque un "aber" quoi ! Le métro nous
a posés sur une rive. Et pour traverser, nous empruntons un abra (cadabra...), bateau traditionnel en bois.
Et nous voilà partis pour une
jolie balade à pied : le souk de Bur Dubaï et le charmant quartier de
Bastakia… A
l’est du Fort Al Fahidi, c’est un vieux quartier pittoresque réhabilité où
l’on peut admirer des maisons hérissées de tours à vents (qui servaient
autrefois à rafraîchir les maisons) et qui appartenaient à de riches
marchands persans de la fin du 19e siècle.
C'est ici le musée !
C'est ici le musée !
Notre visite du
« vieux » Dubaï se termine…
Quelques stations de métro
plus loin, nous arrivons à Dubaï Mall, la plus grande galerie
commerciale du monde… Lieu extraordinaire et bien tentant ! Comme TOUT à
Dubaï, le Dubaï Mall est gigantesque, démesuré... On y trouve de tout :
nourriture, vêtements de luxe (ou fringues plus abordables), bijoux, souvenirs,
restaurants et bars à gogo, attractions (aquarium géant, cascade avec
plongeurs, patinoire)… 1400 magasins parait il ! En France,
on peut gagner une Twingo dans un tirage au sort d'un centre commercial (On a des copains qui connaissent !!!), ici c’est
une Bentley !!! Mais la chance ne nous a pas souri !
Tout à côté, la Burj Khalifa, appelée à l'origine Burj Dubaï, avec ses 828 m (presque 3 fois notre chère Tout Eiffel !), et plus de 180 étages ! C'est la plus haute tour du monde, visible à 95 km à la ronde. « At the top », c’est ce qui nous amène, en quelques secondes seulement, au 124e étage. (Eh ! oui ! on s’arrête là ! C’est frustrant, y’a encore beaucoup d'étages au dessus !). Vertigineux, l'équivalent de 452 mètres. Après, attention les yeux ! Dubaï à 360°. Les immeubles, pourtant déjà hauts, ressemblent d’ici en contrebas à des "légos" tant ils sont miniatures par rapport à la Burj. Spectaculaire !
Et, au pied de cette tour
gigantesque, un sublime spectacle : le soir, toutes les demi-heures, des fontaines se mettent à danser, sur une longueur de
275 mètres et peuvent atteindre une hauteur de 150 mètres. Et le show diffère à
chaque fois. Et plein de terrasses-restaurants autour pour les contempler tout au long d'un repas... On a adoré
cette place au pied de la Burj Khalifa…
Tout ça pour dire qu'à Dubai,
il y a du pognon partout et que la frénésie de construction et de démesure
semble sans fin. Qui a écrit :
« Nous dans le golfe, on n’a pas
d’idées, mais on a du pétrole ? » A Dubaï, c'est grand, c'est
fou. Il y a du pétrole (au moins dans les émirats voisins), et aussi des idées, farfelues parfois…
Tous les lieux semblent aseptisés ! (C'est nickel partout : les rues, les centres commerciaux, les plages, les toilettes publiques, les arrêts de bus ou de métro climatisés). On s'attend donc à des surprises dans notre prochaine destination !!! Encore que... Si, ici, on nous en met plein les yeux, il ne faut pas oublier l'envers du décor. La face cachée, ce sont les immigrés indiens, pakistanais ou bangladeshis, employés sur les chantiers ouverts 24 h sur 24 (qui permettent aux tours de monter d'un étage par jour), suant à grosses gouttes sous un soleil de plomb (le mercure peut monter à plus de 50°), pour une bouchée de pain...
Tous les lieux semblent aseptisés ! (C'est nickel partout : les rues, les centres commerciaux, les plages, les toilettes publiques, les arrêts de bus ou de métro climatisés). On s'attend donc à des surprises dans notre prochaine destination !!! Encore que... Si, ici, on nous en met plein les yeux, il ne faut pas oublier l'envers du décor. La face cachée, ce sont les immigrés indiens, pakistanais ou bangladeshis, employés sur les chantiers ouverts 24 h sur 24 (qui permettent aux tours de monter d'un étage par jour), suant à grosses gouttes sous un soleil de plomb (le mercure peut monter à plus de 50°), pour une bouchée de pain...
Notre portefeuille s’est
considérablement allégé… Demain, le Cheikh SanPrȯviZion et sa favorite en
auront terminé du "tourisme de luxe".
A suivre :
Pratique :
Pour notre seconde et dernière journée, c'est vers le Nord que nous nous sommes dirigés : les souks de Deira, puis la traversée du Creek, ensuite la Burj Khalifa (nom ancien Burj Dubaï) et à côté le Dubaï Mall.
Pour ce 2e jour, on a opté pour le métro et acheté le "1 day ticket" à 14 AED/1 (3,50 €, là c'est pas cher !). Il y a donc 3 classes : la gold avec 1 voiture VIP découverte hier, une classe spéciale "Women and children" (1 voiture) et la silver avec 3 voitures. Les rames se succèdent toutes les 3-4 mn.
La traversée en abra nous a coûté 1 AED/1, soit 0,25 €/1... Intéressant, non ?
A suivre :
Pratique :
Pour notre seconde et dernière journée, c'est vers le Nord que nous nous sommes dirigés : les souks de Deira, puis la traversée du Creek, ensuite la Burj Khalifa (nom ancien Burj Dubaï) et à côté le Dubaï Mall.
Pour ce 2e jour, on a opté pour le métro et acheté le "1 day ticket" à 14 AED/1 (3,50 €, là c'est pas cher !). Il y a donc 3 classes : la gold avec 1 voiture VIP découverte hier, une classe spéciale "Women and children" (1 voiture) et la silver avec 3 voitures. Les rames se succèdent toutes les 3-4 mn.
La traversée en abra nous a coûté 1 AED/1, soit 0,25 €/1... Intéressant, non ?
On a réservé, par Internet, le 10 février, l'entrée à la Burj Khalifa dès la mise en vente des tickets pour le 12 mars, pour la "modique" somme de 420,00 AED/2 (avec les taxes !!!), soit environ 105,00 €/2. On a ainsi pu choisir notre horaire : 17h30 pour bénéficier du coucher de soleil.
On reste sans voix devant tant de merveilles!
RépondreSupprimerC'est vrai que les réalisations architecturales sont grandioses !
RépondreSupprimerle seul bémol est effectivement les travailleurs émigrés qui se retrouvent prisonniers de Dubai puisque leurs passeports leur sont confisqués à l'entrée sur le territoire et restitués au bon vouloir de leurs employeurs... souvent lorsque le citron n'a vraiment plus de jus pour fournir le moindre rendement esclavagiste.